Miss Love Detective (écrits)

non non laisse, si ca linterresse pas cest pas grave, je comprends ^^

Ben je peux aider si tu veux .... qu'est ce qu'il faut faire ?

bon c'est sûr ça sera pas du alexiel ... mais a défaut de.

Mais je suis là! J'attends que tu viennes m'en parler sur MSN je savais pas que c'était sur ce topic

Ah ben voilà !!!! Tout est bien qui commence bien !

Iwaki. Une matinée de dimanche, comme les autres dans cette petite ville au nord de Tôkyô.
Dans un quartier résidentiel réputé calme en périphérie de la ville, le temps s’écoule tranquillement, le temps, les habitants de ce quartier pour la plupart retraités, ont appris à le combler avec philosophie.
En effet dans une petite résidence de style japonais, madame Keiko HAMADA, confortablement posé, caresse son chat en regardant avec délice un drama à l’eau de rose. Elle se demandait quand Hiroshi oserait enfin avouer son amour à la jolie Marika , lorsqu’elle entendit de pas venant de l’extérieur.
- Shunsuke ? Tu as pensé à préparer tes affaires pour demain ?
Malheureusement pour elle, il ne s’agissait pas de son petit-fils qui rentrait de sa ballade matinale en vélo.
Avant même qu’elle n’ait eu le temps de sen apercevoir, une main gantée lui posa un mouchoir chloroformé devant le visage. La vieille femme s’assoupit aussitôt tandis que le chat qu’elle tenait dans ses bras détala d’un bond.
Une fois que les kidnappeurs eurent cagoulée et attachée la vieille femme à son rocking-chair, il la portèrent jusqu’à leur camion, garé juste devant la bâtisse. C’est alors que le jeune Shunsuke, qui cette fois-ci rentrait bel et bien, aperçut ce qui se passait. Les kidnappeurs se dépêchèrent de s’en aller, et avant même qu’il n’ait eu le temps d’appeler à l’aide, le petit fils de Keiko n’étaient déjà quasiment plus à portée de vue.



Cette lundi est très spécial pour tous les jeunes étudiants japonais; les cerisiers en fleur l’ont annoncé : c’est la rentrée des classes dans l’archipel. Pour la jeune Ai WAKAMATSU, cette journée est un jour de fête. Très heureuse de retrouver ses amis, et excitée à l’idée de passer en classe supérieure, elle attendait cette rentrée avec impatience ces dernières semaines. Devant le tableau d’appel, elle scrute avec appréhension qui seront ses camarades de classe pour toute l’année qui va suivre, du moins, elle vérifie qu ‘il y a un nom : Junpei ASAMIYA, son meilleur ami depuis le jardin d’enfants. Ouf, cette année encore ils seront dans la même classe.

Une fois arrivée dans sa salle principale de cours, et après avoir échangé les nouvelles des vacances de printemps, Ai vit entrer sa pire ennemie : une dénommée Rinko KANEYAMA, toujours suivie de près par ses deux comparses, Ayumi FUJIYOSHI et Maria SHIRAI.
- Oh non, t’as vu qui on va devoir se taper cette année ? fit-elle, rageuse, à Junpei
Cette garce de KANE, j’en revient pas !
- Ouais bein moi je suis même pas parti ! rétorqua ironiquement le jeune garçon.
Le calme se fit immédiatement à l’arrivé du professeur principal de la classe nouvellement formée.
- Hello everyone ! se contenta de sortir le professeur, qui à la base enseignait l’anglais.
Kazeo KABIRA était un homme de quarante-deux ans, qui était encore très séduisant, et d’après ses élèves, il était, du reste, un bon enseignant.
- Bien. Je suis heureux de vous annoncer la venue d’une toute nouvelle élève parmis nous. Elle nous vient directement de la capitale et n’a emménagée qu’hier. Elle vit au manoir KURODA. Je vous demanderais de faire honneur au lycée KOUNAN en l’accueillant comme il se doit.
Son arrivée fit l’effet d’une bombe dans la classe. Premièrement par le fait que le manoir en question, longtemps resté inhabité, était, en soi, déjà un signe exterieur de richesse, et les chuchotement se firent dès l’annonce de l’adresse de la jeune. Ensuite, Les cheveux décolorés, la peau déjà bronzée au mois d’avril, la dégaine typiquement tôkyôite, il s’agissait, pour les élève d’un véritable OVNI dans un lycée plutôt conforme à la société japonaise, particulièrement conservatrice.
Cette jeune fille si spéciale, Ai la reconnut tout de suite, puisqu’elle l’avait rencontrée la veille au matin : il s’agissait de Haruna NAKAGAWA. Celle-ci prit la parole , après avoir inscrit sur le tableau noir les idéogrammes de son prénom (non sans y avoir ajouté quelques cœurs, et autres fantaisies autour).
- Je m’appelle Haruna NAKAGAWA, et j’ai récemment déménagé de Tôkyô pour vivre dans ce petit coin moisi. Mon père à vendu sa bijouterie de Tôkyô pour se lancer dans la spéculation des biens joailliers. Il ne travaille quasiment jamais, mais il gagne plein d’argent.
Un peu surpris par cette présentation peu conventionnelle, le professeur KABIRA pria Haruna de bien vouloir s’asseoir en lui indiquant une place. S’est alors que le deuxième requin de cette classe se dressa, le bras levé, pour proposer à la jeune nouvelle élève de s’asseoir à sa droite, la place étant vacante.
Le jeune garçon s’empressa alors d’engager la conversation avec Haruna :
- Je suis Yuuya HAITANI, commença-t-il.
Le sang de Rinko ne fit qu’un tour. D’ailleurs celle-ci sentit vite l’embrouille dès qu’elle vit la tignasse rousse de Haruna. En effet étant la plus riche, la plus populaire, et s’étant auto-proclamée la plus jolie du lycée, elle voyait d’un mauvais œil l’arrivée d’une rivale aussi menaçante, puisqu’en créa immédiatement l’intérêt des élèves de la classe, Haruna mettait en péril sa popularité, bâtie depuis l’école primaire. Et puis surtout, face à la richissime tôkyôite, la fortune de Rinko paraissait bien flétrie.
Se pressant devant l’une de ses deux suivante, elle dit :
- Je rêve, t’as vu ? Elle se croit où cette putain ?? Si elle croit que je vais laisser faire ça, elle se fourre le doigt dans l’œil, et bien profond !

Dès lors Rinko décida de réagir : à peine l’interclasse eut sonnée que Rinko se rua sur la jeune Haruna
- Sallluuut, sois la bienvenue parmis nous, tu verras, il y a plein de bouseux ici, mais de toute façon, se lycée à la réputation de vouloir mélanger les torchons usagés et les serviettes de luxe, mais tu sais aussi bien que moi, qu’il vaut mieux rester entre serviettes, n’est-ce pas ?
Haruna aimait bien la façon de penser de Rinko. D’une elle lui rappelait ses copines de Tôkyô, et puis de deux, il est bien vrai que pour Haruna, avoir été parquée dans ce lycée publique était de l’ordre de l’affront, déjà qu’elle avait été déracinée à son quartier de Shibuya, si cher à ses yeux.
- T’as bien raison, tu sais déjà moi, c’est pas par choix que j’ai atterrie ici, c’est mon père qui m’y a obligée, J’ai cru crever quand j’ai vu la gueule du lycée, c’est pas du tout ce à quoi j’ai été habituée ! répondit-elle à Rinko
- Ouais c’est clair ! Moi avec mes darons, c’est pareil ! Mon père est le directeur de la discothèque d’Iwaki, avec moi tu pourra rentrer en VIP.
- Ca, c’est le pied !
Haruna n’avait qu’à peine terminée sa phrase qu’Ai s’approcha du groupe.
- Salut Haruna, ça va depuis la dernière fois.. ?
Rinko, se sentant bafouée d’avoir été approchée par une fille comme Ai WAKAMATSU, s’empressa de prendre Haruna par le bras et lui dit :
- Nachan, Me dit pas que tu traîne avec ce…torchon ?!
Ayumi et Maria sentirent le signal de Rinko et se mirent à glousser, comme prises de convulsions.
Haruna reprit :
- Ah non-non-non, j’lais jamais vu de ma vie, elle doit se tromper de personne !
Haruna avait parfaitement reconnue « la fille aux couettes », qu’elle avait rencontré la veille, mais elle se dit qu’après tout, sa réputation dans ce lycée pourrait vite être mise en péril par des mauvaises fréquentation, et que tant qu’à faire, il valait mieux être avec les personnes les plus cool de la classe, plutôt qu’avec la lie. Et puis, c’est pas comme si elle étaient grandes amies.

A la fin de la matinée, Ai, en compagnie de Junpei, fulminait contre Haruna :
- Tu te rends compte ? Elle a fait comme si elle ne m’avait jamais vu alors qu’hier on était toutes les deux coincées dans un hôtel avec un meurtre sur les bras.
Junpei, lui prenait la chose avec philosophie :
- Bah de toute façon, c’est pas quelqu’un pour toi, elle est carrément superficielle, le genre écervelée quoi…
- N’empêche, sur vingt-sept millions de japonais, il faut que je tombe sur elle.

Ah j'aime trop !!! Et puis lorsque ai va voir le tabeau pour voir la composition de sa classe c'est exactement ce que je ressens. D'ailleurs demain jvais aller voir avec mon meilleur ami, mais ... je crois que c'est mort je serai pas dans sa classe cette année TxT.

je trouve le style d'écriture très bon et très frais continu comme ça.
j'ai corrigé quelques fautes comme ça que je voyais !


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Citation :

lorsqu’elle entendit de pas venant de l’extérieur.

des pas.

Citation :

Une fois que les kidnappeurs eurent cagoulée et attachée

attaché et cagoulé sans le ée juste e a la fin.

[quote]le petit fils de Keiko n’étai[/strike]ent[/strike]ait[quote]

n'était

Citation :

les chuchotements

Citation :

S’est C'est alors

Citation :

sece lycée

Citation :

- Ouais c’est clair ! Moi avec mes darons, c’est pareil ! Mon père est le directeur de la discothèque d’Iwaki, avec moi tu pourra-s rentrer en VIP.

tu pourras

AAAAHHHH MERCIIIIII m_j
Bah dis donc! T'as tout lu de haut en bas, c'est cool *_*
Merci veaucoup d'avoir corrigé mes petites fautes aussi *Rijio qui sait pas écrire xD*

Je rajoute la fin du chapitre 1!

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La moutarde ayant monté bien vite au nez d’Ai, elle bouscula un jeune garçon à l’angle d’un couloir. C’était un garçon de deuxième année qu’elle ne connaissait que de vue.
Alors qu’elle se confondais en excuses, et tandis que Junpei l’aidait à se relever, le jeune garçon, blême, fit un malaise, et s’écroula au sol.

A l’infirmerie, Ai est assise auprès du garçon. Elle peine à croire que le simple fait de l’avoir bousculé dans le couloir l’ait mis KO, surtout du haut de son mètre cinquante-six.
Une fois réveillé, il n’a pas été très sorcier de tirer les vers du nez du garçon, a fortiori venant de la fille d’un inspecteur police.
- Ta grand-mère a été enlevée et tu n’a pas appelé la police ?! commença-t-elle, surprise.
- Quelques heures après qu’elle ait été enlevée, j’ai reçu un appel disant de ne surtout pas prévenir la police où ils la tuerait. Le jeune garçon avait des trémolos dans la voix, il tenta de se ressaisir, puis reprit :
Je me suis alors dit qu’il fallait faire comme si de rien était pour ne pas réveiller les soupçons et aller en cours comme si rien ne s’était passé.
Il se saisit vigoureusement du bras d’Ai et continua :
Je t’en supplie, n’en parle à personne ! Depuis le décès de mes parent, elle est la seule personne qui me reste !
Promets le-moi !!
- Je te le promet. Se contenta de répondre Ai, puis elle reprit :
Laisse moi alors t’aider.

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Si vous avez des petites idées pour améliorer le scénario, je suis preneur!

Cette garce de KANE, j’en revient pas (terrible le jeu de mot xD)

Citation :

Cette lundi est très spécial pour tous les jeunes étudiants japonais

On dit pas plutôt ce lundi ?!

Je sais que tu as beaucoup travaillé pour cette histoire, tu as longuement cherché des ptites expressions à insérer dedans, ca me fait sourir quand j'en trouve dans ton texte ^__^ (cf : "jen revient pas/ Ouais bein moi je suis même pas parti")

Pour l'histoire je la trouve très intéressante, j'ai particulièrement envi de connaître la suite *_*
Félicitation :]

MDR xD
Merci narumi, les petites expressions, j'en ai encore des copies doubles, dont quelques unes que j'utilise pour moi-même (comme tu as pu te rendre compte xD)
J'ai dû lire toute la collection de Jean Roucas, et bien d'autres ç_ç *pleure*

Retrouvez dans Miss Love Detective toutes les petites allusions de Rijio~

a oui je l'avais vu cette faute mais j'lai oublié xD

ouaiiis !! oup je dois aller chez un copain bon ben je lit la suite quand je reviens !

Sympa comme le début j'attend la suite avec impatience... !! Ra.... je veux la suite xD

quelques ptites fautes pas bien graves :

Citation :

Alors qu’elle se confondais en excuses,

se confondait

Citation :

A l’infirmerie, Ai est assise auprès du garçon. Elle peine à croire que le simple fait de l’avoir bousculé dans le couloir l’ait mis KO, surtout du haut de son mètre cinquante-six.

Ton récit est au passé et là ça passe au présent je sais pas si c'est correct.... faudrait trouver un prof de français.

Citation :

Ta grand-mère a été enlevée et tu n’a pas appelé la police ?! commença-t-elle, surprise.

et tu n'as

Citation :

Depuis le décès de mes parent

mes parents

Citation :

Promets le-moi !!

Promet


j'ai du laisser des fautez mais je n'étais pas sûre de la correction alros je ne préfére ne rien dire ^.^.

C'est suppaa cool rijio continue !

manga_jap a écrit:

C'est suppaa cool rijio continue !

Ah! On dirait pas vu toutes les fautes xD
En tout cas merci de prendre le temps de lire et de trouver les fautes et de me les signaler

Sinon au niveau du scénar, rien ne vous vous perturbe? Si vous avez des questions -> je suis là :Vuii:

hum non pour l'instant rien ne me pérturbe. mais est-ce que le début de l'enquête enfin des "péripéties" sont annoncées pour quel chapitre a peu pres ?

La suite ^^
Je sais pas ce qui m'a prit mais j'ai fait beaucoup plus de chapitres que l'épisode précédent ^^

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CHAPITRE DEUX


Le soir même, elle était déjà sur les lieux du rapt.
- Et tes parents ? Demanda Shunsuke, fébrile.
- Te fais pas de bile, mon meilleur pote me sert d’alibi, je leur ai raconté que je réviserais un DS chez lui. Répondit Ai, se voulant toujours rassurante.
En discutant avec Shunsuke, elle tentait de récapituler tout ce qui s’était passé la veille. Entre deux recherche d’indices, Ai se rendit compte qu’ils s’était toujours fréquentés, étant dans le même lycée, mais qu’ils n’avaient jamais prêtés attention l’un à l’autre. Shunsuke souhaitait suivre, malgré ses résultats scolaires moyens, des études de droit après ses études, après le lycée à Tôkyô.
Pour Ai, et malgré le fait qu’il soit d’un an son cadet, Shunsuke était un exemple à suivre. Ses parents étaient tous les deux morts lors du crash d’un en avion alors qu’il était encore jeune. Depuis c’est sa grand-mère qui a subvenu seule à ses besoins.
- Tu sais, je te respecte beaucoup pour ton courage. Mon père est policier, il pourra t’aider j’en sure ! Laisse-moi lui parler je t’en supplie ! Cette affaire nous dépasse tous les deux.
Le sang de Shunsuke ne fit qu’un tour, il bondit hors de sa chaise et lança :
- Non ! Surtout pas ! Tu connais très bien leur consignes ! PAS DE POLICE !
- Mais, il vaudrait mieux que…
Ai n’eut pas le temps de terminer sa phrase lorsque le téléphone retentit. Shunsuke se jeta dessus, presque frénétiquement.
- Allô ? Allô ??
Une voix avec une tonalité grave non naturelle répondit lentement :
- Nous vous demandons cent cinquante mille yens* en échange de la vieille femme. Nous fixerons le rendez-vous par téléphone demain à midi très précises. Soyez là, où je ne pourrait garantir la survie de la vieille.
- Attendez !!! Je veux lui parler ! Laissez moi lui…
Shunsuke se tourna vers Ai, les yeux humides, puis lança amèrement :
- Il a raccroché.
Ai s’approcha du jeune garçon courbé par l’inquiétude. Elle lui posa la main amicalement sur l’épaule, puis lui dit :
- OK, on n’appelle pas la police. On retrouvera ta grand-mère, ne t’inquiète pas.
Le tic-tac de la pendule du salon résonnait lourdement dans le silence de la pièce. Il était à présent quasiment minuit. Les deux adolescents réfléchissaient devant une tasse de thé japonais. Ai prit la parole :
- Tu ne trouve pas ça bizarre que les ravisseurs te demande une somme aussi dérisoire. En plus ici, ce n’est pas un quartier spécialement riche, alors pourquoi enlever une grand-mère seule et sans histoire ?
Elle avait peut-être de l’argent caché.. ?
- Non, juste quelques économies, mais absolument rien qui pourrait attiser la convoitise. Elle touche une petite retraite et vit simplement.

Ah ! ça m’agace d’être là à attendre sans rien faire alors que ma grand-mère est dans les griffes de je-ne-sais-quel tordu. Qu’est-ce qu’on peut faire..? J’te jure Ai, je suis mort de peur, si jamais il lui arrivait quelque chose, je m’en voudrait toute ma vie de ne pas avoir été là. Si seulement je ne m’était pas absenté…
- Laisse. Ce n’est pas de ta faute, ne te sens surtout pas couple, les personnes à punir sont celles qui ont enlevé ta grand-mère. Cependant, tu as raison sur un point : on ne peux pas rester là à rien faire. Ce qui me fait peur c’est que cette rançon dérisoire ne soit qu’un prétexte. J’avais déjà vu ça dans un épisode du sensible inspecteur YAMAMOTO, dans ces cas là, chaque minute est comptée…
- Tu as une idée ?
Ai sourit, puis repris :
- Eh bien je pense qu’on ne peut pas rester là à attendre. Il faut prendre les devants. A la garde du commissariat d’Iwaki , il y a des appareils de localisation téléphonique. Je peux toujours essayer d’en prendre un là-bas, et l’installer avant le nouvel appel des ravisseurs. Encore que si tu ne veux pas prévenir la police, il faudra y aller en douce…
- Je suis très touché par ton implication. Répondit calmement Shunsuke. Emmène-moi là-bas, je m’occuperais du reste; je ne veux pas te mêler à tout ça…
- Tsss, d’un je suis déjà trempée jusqu’au coup dans cette histoire, et de deux, si tu crois que tu joueras la vedette seul, tu te goures ! Et puis ce ne serait pas digne du sensible inspecteur YAMAMOTO que de laisser un ami dans le besoin !

Pas mal pas, j'aime bien les histoire policière *_*

Tu pourais me donner la sommes de yens en euros ?!
Parceque je me rend pas trop compte ><

Ahhhh! T'as déjà tout lu O_o
Alors pour passer des yens en euros t'enleves 2 zéros. exemple 100yens = environ 1euro

fin du chapitre 2
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Lors du trajet à vélo, Ai, assise, s’accrochant aux flans de Shunsuke, ne pouvait s’empêcher de penser à la pauvre femme. Il fallait être, d’après elle être sacrément dérangé pour enlever une mamie sans problèmes, pour en demander si peu d’argent. Elle commençait à s’imaginer le pire pour elle, et craignait par voie de conséquence, pour Shunsuke. Elle qui, par le travail de son père, avait été habituée à mettre de la distance entre elle et la mort, était à présent incapable de rester neutre face à la situation.
Une fois arrivés à bon port les deux comparses s’empressèrent de se faire ola courte échelle pour accéder au promontoire qui était sensé les mener à la salle des perquisitions, qui accessoirement servait de débarras.
Ai qui connaissait à peu près les lieux conseilla à Shunsuke de s’accroupir pour éviter le plus possible d’être vu.
Cependant elle se rendit vite compte qu’il n’y avait pas beaucoup à s’en faire.
- On a du bol, le policier de garde ce soir c’est Manabu.
Shunsuke se redressa sur ses genoux, lança un regard rapide par dessus le mobilier, qui le masquait puis reprit sa position initiale. Le peu qu’il put voir était un homme bedonnant, les tempes grisonnantes, vautré sur son siège. Il tourna la tête vers Ai, qui reprit :
- Il passe toutes ses gardes à se mater du hentai sur les écrans de contrôle, une fois il, s’est fait choppé le calbutte sur les genoux; je me demande comment après ça il a fait pour ne pas être viré !
- Eh beh, il a aussi été bercé trop près du mur celui-là.
Bon allez, avance ! reprit-il ensuite en tapotant le dos d’Ai pour lui faire allonger le pas.
Arrivés dans la salle des perquisitions, Ai et Shunsuke furent tous deux surpris de voir le désordre qui y régnait.
Shunsuke lança un regard inquiet à Ai et dit :
- D’abord le flic fan de hentai, et puis maintenant les bureaux dans cet état, j’te jure Ai, la police c’est plus ce que c’était. Encore heureux que je leur ait pas appelés pour ma mamie…
Ai soupira, regardant autour d’elle dans ce qui ressemblait plus à un dépotoir qu’à un local de police, puis interpella son ami.
- ça y est ! Je crois que j’ai trouvé !
Il y avait un casque relié à un rouleau qui dépassait de la pile de paperasse et d’appareils en tous genres, Ai essaya de désincarcérer la partie visible de la machine, mais sans succès.
- File-moi un coup de main, j’arrive pas à le retirer.
Tirant à nouveau, mais cette fois aidée du jeune homme, Ai mis en péril l’équilibre de la pile hétéroclite par ses mouvement saccadés. Elle fit s’écrouler le tas composé de bric et de brocs dans un vacarme accompagnant le nuage de poussière formé par les appareils tombés au sol.
Ai et Shunsuke se regardèrent une seconde et sans un mot se dépêchèrent de prendre l’appareil d’écoute téléphonique pour s’enfuir. Dans la précipitation, Ai trébucha au sol. S’est en se relevant qu’elle vit une ombre au-dessus d’elle.
Confuse, elle balbutia :
- Attendez je peux tout vous expliquer !
- M’expliquer quoi ?
A peine l’ombre eut-elle prononcé ces quelques mots qu’Ai la reconnue tout de suite.
- Papa qu’est-ce que tu fais là ?! T’es pas sensé être à Tôkyô ??
L’homme aida sa fille à se relever en lui disant :
- C’est plutôt à moi de te poser cette question, je te surprends à nous voler des walkmans de contrebande chinoise…
- Quoi ?!? C’était des walkmans ?? Répondit Ai , qui se dit qu’elle avait fait tout ça pour des baladeurs cassette.
C’est alors que Manabu SAKAI, s ‘approcha de son collègue, tenant le jeune Shunsuke par le col de sa chemise.
- Tiens, Masayuki, j’en ai chopé un autre qui courait vers les toilettes.
- Quoi ?!? C’était pas la sortie ?? Scanda alors l’adolescent.
L’inspecteur Wakamatsu repris alors :
- Laisse, je m’en occupe. Se tournant alors vers les deux coupables : J’aimerais que vous m’expliquiez se qui se passe ici…
Shunsuke s’avança vers le père d’Ai et commença :
- C’était dimanche matin…

Oh super !

pourquoi y a une étoile a côté de yen ??

Sinon j'adore cette phrase :

Citation :

Une voix avec une tonalité grave non naturelle répondit lentement

jtrouve ça trop classe xD

manga_jap a écrit:

Citation :

Une voix avec une tonalité grave non naturelle répondit lentement

jtrouve ça trop classe xD

MDR ^^

manga_jap a écrit:

pourquoi y a une étoile a côté de yen ??

Parceque je comptais mettre l'équivalent en euros en bas de page ^^

J'attends d'autres avis, et je poste la suite ^^

Okay ! Bonne continuation ! Ca serait cool une ptite image pour illustrer comme une couverture de livre un peu non ??

ouais pas bête comme idée (manga_jap les bons tuyaux ^^)
allez les autres des avis divers et variés ça fait toujours plaisir ^^

Bon je comptais attendre que d'autres postes leurs avis, mais apparemment y en a que 2 qui passent par ici pour lire donc je poste d'ores et déjà la suite
Donc pour Narumi et manga_jap, la suite

CHAPITRE TROIS

Midi. A l’heure de l’appel tant attendu, tout était paré. Ai et son père préparaient le matériel qui allaient leur permettre de localiser les kidnappeurs. Lorsque le téléphone retentit, le calme se fit dans la pièce.
- Allô ?? répondit Shunsuke
- La somme dans un sac dans une heure au terrain vague Yanagihara. Dès qu’on aura la somme on vous recontactera. Si tout se passe bien la vieille rentrera dîner, sinon… Se contenta de répondre le ravisseur, qui raccrocha ensuite.
Shunsuke posa le combiné, puis se tourna vers Ai et son père, celui-ci vérifiant une nouvelle fois les données nouvellement reçues.
- On n’a pas eu le temps de localiser exactement l’appel, ceci dit, ce qui est sur c’est que l’appel provenait d’une cabine téléphonique de la ville.
Shunsuke se posa sur une chaise les larmes au bord des yeux.
- Vu le nombre de cabines dans la ville on a pour ainsi dire aucune chance de retrouver les kidnappeurs…dit-il, en posant ses mains sur son visage.
Ai s’approcha alors du jeune homme.
- T’inquiètes pas, je t’ais dit qu’on allait la retrouver ta grand-mère, et mon père et moi on a pas l’habitude de ne pas tenir nos promesses…
En s’approchant de Shunsuke, Ai sentit sous ses pieds quelque chose lui piquer la plante des pieds sous sa chaussette.
- Aïe ! Fit-elle. Soulevant son pied se rendit compte qu’il s’agissait d’une boucle d’oreille dont l’attache avait été laissé sans protection.
D’ou ça sort ?!? reprit-elle.
- J’sais pas répondit Shunsuke, ça doit être à ma grand-mère…Elle l’a peut être laissé tomber par mégarde…
Masayuki WAKAMATSU, prit ensuite Shunsuke par le bras
- Allez viens petit, on va récupérer ta grand-mère.

A treize heures, Shunsuke, Ai et son père accompagné de deux autres policiers attendaient au lieu indiqué.
Ai se tourna vers Masayuki et lui demanda :
- Dis papa, tu compte les arrêter quand ils tenterons de récupérer la somme, comme dans l »épisode numéro cinquante-trois des aventures du sensible inspecteur YAMAMOTO ?
- Pas tout à fait ma chérie. Vu la somme qu’ils demandent je ne pense pas que ce soit des pros, il s’agit peut-être même d’adolescents. Si ils flairent le mauvais coup, il seraient capable de tuer madame HAMADA dans la panique. On dépose l’argent et puis on s’en va.
- Quoi ? pas d’intervention musclée ??
- Pas cette fois. Je voudrais éviter à Shunsuke de perdre un autre membre de sa famille, il est déjà si fragile…
Pendant ce temps les méthodes peu conventionnelles de l’inspecteur WAKAMATSU et l’implication de sa propre fille dans les enquêtes faisaient jaser. L’un des deux policier fit à l’autre :
- T’as vu ça, c’est quand même bien un comble si nos affaires sont résolues par une gosse !

Cependant malgré les réticences vis-à-vis de ces méthodes de travail, l’inspecteur WAKAMATSU avait vu juste, puisque le soir même Keiko HAMADA était restituée à son petit-fils, indemne.
Les policiers eurent beau l’interroger, celle-ci avait eu les yeux bandés lors de son enlèvement, et n’ayant plus une très bonne audition, elle ne put donner d’informations sur ses ravisseurs. Ceci dit, elle était de retour, et c’est uniquement ce qui importait pour Shunsuke.
Mais pour ces policiers, l’affaire devait être classée, ce délit mineur passant après des crimes plus graves dont ils avaient aussi la charge.

NOooNnN c'est pas la fin ?

...

Mais non, c'est pas la fin voyons!!!



--première partie--

Mercredi matin. Ai restait très préoccupée par l’histoire qu’elle venait de vivre, par égard pour Shunsuke, elle souhaitait trouver les responsables de l’enlèvement de sa grand-mère, bien que pour le jeune, avoir de nouveau sa grand-mère à ses côtés, saine et sauve, était déjà amplement suffisant.
De son côté, Rinko KANEYAMA lançait un pari à Haruna :
- Nanachan, tu sais ce qui serait excellent ? Ce serait de coller un chewing-gum énorme sur la chaise de WAKAMATSU ! On est là depuis sept heures à faire la corvée du matin, on a bien le droit de s’amuser un peu !
Ceci dit, Rinko et Haruna était plus à regarder Ayumi et Maria faire le travail à leur place, qu’autre chose. Rinko reprit, se tournant vers ces dernières.
- Vous deux allez faire le guet pendant que Haruna lui colle un gros chewing-gum au cul à cette conne de WAKAMATSU.
- Hein mais attends ! Tenta alors de protester Haruna.
- Quoi ? répondit Rinko, outrée par cette tentative de rébellion. Ceci dit en fine manipulatrice, elle réussit à faire de Haruna se qu’elle voulait.
Me dit pas que t’es pas capable de le faire..! Je m’attendais à mieux de quelqu’un comme toi, mais bon si t’as peur de cette bouseuse…
Pointant du doigt Ayumi elle lui fit :
Toi ! Fais-le à sa place !
Ni une ni deux, Haruna réagit aussitôt :
- Attends là qu’est-ce que t’as cru ? Biensûr que je le fais !
Tandis que Haruna accomplissait son forfait, Rinko et ses deux suivantes ricanaient joyeusement en faisant mine de faire le guet pour elle. Rinko ressentait une certaine jouissance de savoir qu’elle tenait qui elle voulait entre ses mains expertes. Ce plaisir à dominer les autres était plus fort que tous les autres chez elle. Elle espérait que Haruna se ferait prendre, le cas échéant elle remettrait la faute de ne pas avoir su faire correctement le guet sur Ayumi ou Maria.
D’ailleurs Haruna retourna à sa place in extremis avant qu’Ai n’entre dans la salle de classe, suivie par les autres élèves puis le professeur.
Lorsque Ai s’assit sur son pupitre, elle ne pu se retenir de pousser un cri qui résonna dans le silence de la classe.
Surprit, le professeur se retourna vers la jeune fille.
- Un problème mademoiselle WAKAMATSU ?
Rouge de honte elle ne pu qu’hocher la tête pour répondre que non.
- Eh bien vous qui semblez très en forme ce matin, venez au tableau répondre aux questions trois et quatre de l’exercice un qui était à faire pour aujourd’hui.
Ses yeux s’écarquillèrent lorsque qu’elle entendit le professeur prononcer cette phrase.
- euh…pardon…
- Eh bien WAKAMATSU, qu’attendez-vous ?
- Je…
- Alors WAKAMATSU, ne fais pas attendre le professeur, va au tableau ! Dit avec un sourire en biais Rinko qui alors était complètement en transe en voyant Ai dans un tel embarras.
Ai se dirigea alors vers le tableau. En voyant la trace rose sur le derrière de la jeune fille toute la classe se mit à rire, Rinko la première.
Ayant remarqué la chose, le professeur reprit :
- Mademoiselle WAKAMATSU, vous qui tenez tant à amuser la galerie, nous verront si vous serez toujours d’humeur à faire l’intéressante en retenue ! Retournez vous asseoir à présent.

Ahh pove Ai ><

Merci Narumi de lire (tu dois bien être la seule avec manga_jap à passer ici -_-)

Bon la 2e partie

A la fin du cours Ai bondit sur Rinko et Haruna qui sortaient de la classe :
- Putain c’est pas vrai ! Rinko, t’es la pire des garces, ça tout le monde le savait, mais alors là t’as fait fort ! Haruna, par contre toi, pour suivre Rinko, t’es plus conne que je le croyais !
- Pardon, de quel droit tu me parles comme ça ? rétorqua Haruna, feignant de ne pas savoir de quoi Ai parlait
- Non mais attends Haruna, joue pas l’outragée, je suis sure de ne pas avoir heurté ta sensibilité, vu que tu n’en n’as pas !
Rinko s’interposa entre les deux et lança à Ai :
- Tss, t’as encore du chewing-gum sur ton uniforme, t’es bonne pour t’en acheter un autre bouffonne.
Puis, elle et Haruna se dirigèrent vers Yuuya en gloussant.
Junpei prit alors Ai par le bras en lui disant :
- Boh…Te bile pas pour cette histoire de chewing-gum, c’est pas grand’ chose…
- Non mais t’as vu, elles me traitent vraiment comme de la vieille merde…
- Allez viens j’te raccompagne…
- Nan laisse, ça va…
Ai ne se sentait pas d’humeur à rentrer chez elle de toute façon. Elle comptait retourner chez les HAMADA, pour tenter de chercher avec Keiko des indices sur ses kidnappeurs, et puis selon elle, ça ne serait pas digne du sensible inspecteur YAMAMOTO de laisser des criminels en liberté.

Cependant une fois arrivé chez eux, la grand-mère ne pu, encore une fois révéler grand chose vis-à-vis des ravisseurs.
- J’avais été encagoulée je n’ai absolument rien vu, en plus j’étais paniquée…répondit la vieille femme aux question de la détective en herbe.
- Laisse, mamie est de retour, c’est le plus important. T’en a déjà fait énormément pour nous…reprit Shunsunke, tendant une tasse de thé à sa grand-mère
- Tiens prends-en une petite. Rétorqua la grand-mère.
- Attendez. Vous n’avez vraiment aucun souvenir de votre enlèvement ? Même un détail minime qui permettrait de savoir où vous avez été emmenée ?
- Comme je te l’ai dit, mon ouïe me fait défaut. Cependant j’ai entendu une sorte de bruit de cloche, j’en ai parlé aux policiers, mais ils ont jugé que c’était insuffisant pour mener une enquête.
- C’est tout ?
- L’un des kidnappeurs n’arrêtait pas d’éternuer. Il y avait un chien qui aboyait fort, et puis je me rappelle d’une forte odeur de chrysanthème aussi. Je reconnaîtra son parfum entre mille, c’est la fleur que ton grand-père m’avait offert pour notre mariage. Dit-elle souriante, en se tournant vers Shunsuke. Ah et il pleuvait aussi ! Reprit-elle.
- Vous êtes sure ?! Fit-elle, surprise.
- Ah ça pour sûr !
- Pourtant il n’a pas plu dimanche dernier, pas vrai ? Fit-elle vers Shunsuke.
- Bah je crois pas…Répondit-il. Laisse, dans le couloir il y a la pile de journaux. les prévisions météo doivent être dans celui de la semaine dernière.
Pendant que Shunsuke partait chercher le dit-journal, Ai sentait une boule de poils se frotter contre ses jambes.
- Oh, mais vous avez un chat ? Je ne l’avait pas vu auparavant.
Elle prit le chat dans ses bras, puis se dirigeant vers Shunsuke :
Il s’appelle comment ton chat ?
- Ah il est de retour lui ?! C’est JIROUMARU. Un vrai petit peureux, au premier problème il prend la fuite, mais il revient toujours le soir pour sa pâtée et son bol de lait…
- On regardait tous les deux «Sous le même toit» quand je me suis faite enlever, D’ailleurs je ne sais même pas si Hiroshi à fini par avoué à Marika qu’il l’aimait! Dit-elle en rigolant.
- Ma grand mère ne peut pas résister à ses sitcoms… Dit Shunsuke, souriant.
- Tu disait qu’il s’enfuyait au premier problème, il a déjà fugué ? Demanda Ai.
- Ouais. On avait collé des affiches partout. C’est un couple qui nous l’a ramené. Il s’arrêta, puis reprit :
Ah ! Voici le journal. C’est celui de la semaine dernière. Il était sur la pile à recycler. Un peu plus il serait passé au bac à jeter.
- Regarde à la dernière page, c’est là qu’il y a les prévisions météo.
Et ce dimanche, il n’avait en effet pas plu sur Iwaki, la journée était d’ailleurs très ensoleillée sur tout l’archipel nippon.
- Allez les enfant laissez ça et finissez votre thé, il va être froid ! Lança la grand mère qui était restée dans le salon. Je vais vous chercher d’autres gâteaux. Reprit-elle.
Ai prit Shunsuke à part et lui fit :
- Tu as vu la direction qu’à prise la camionnette des kidnappeurs ?
- Oui, je rentrait juste de mon tour à vélo, pourquoi ?
- Je te propose qu’on tente de refaire le parcours avec les informations que nous a donné ta grand-mère.
- On ne va pas en cours ?
-T’inquiètes pas pour ça.
Puis Ai se dirigea vers la grand-mère de Shunsuke, se pencha légèrement en avant en signe de salutation, et dit :
- Merci beaucoup pour cet excellent thé, il est déjà presque dix-neuf heures, mes parents vont s’inquiéter si je ne rentre pas.
Shunsuke, on se voit demain. Fit-elle ensuite, se tournant ensuite vers le jeune homme.
- Ah euh Ai…Je crois que tu as du chewing-gum sur ta jupe…