[alexiel] première oeuvre

Il y a bien longtemps : Un cri retentit dans la nuit, à l’heure ou Londres s’endort. Le clochard assis sous la porte cochère reconnaît une voix d’homme. Une ou deux lumières s’allument, mais personne ne sort. Ce genre d’évènements est courant, dans l’Angleterre du 18e siècle. Si au moins quelqu’un avait eu le courage de répondre à cet appel désespéré, cet appel à l’aide, l’histoire qui va suivre n’aurait jamais eu lieu, et ils auraient pu vivre une vie tranquille. Mais l’homme est lâche. Et cette nuit va naître un monstre.

Année 2003, dans une ville de l’ouest de la France, un cri retentit dans la nuit. Le clochard allongé sous le pont se lève d’un bond. Quelques jeunes fêtards intrigués le suivent. Les lumières des maisons s’allument, les gens sortent en robe de chambre et en pantoufles, inquiets et troublés par cette agitation qui vient bousculer leur quotidien.
Ils arrivent sur les lieux, tentent de satisfaire leur curiosité. Les chanceux ouvrent grand les yeux, l’air ébahi puis horrifié. Ca hurle, ça s’empoigne, ça se dépêtre tant bien que mal, ça s’enfuit. Et « ça », ce sont les hommes du 21e siècle. Ils sont à la fois bien différents que ceux des générations précédentes, mais ils leur ressemblent étrangement. Néanmoins ils ont un mérite : d’avoir eu le courage de se rendre sur les lieux, comme si ils pouvaient être utile

tite question : pourquoi "première oeuvre"?

Parce que je te présente ma toute première oeuvre! :Gaya:

et tout ce que tu as fait avant alors? :MinGaan:

J'ai pas tout compris dans l'histoire masi c'est deja bien je trouve

Nan Rijio, c'est ma première oeuvre que j'ai retrouvé et que je tape à l'ordi.

Kirby, ceci n'est que le début du prologue en fait ^^

ah d'accord (oups la honte sur moi) bon bein on attends plus que la suite...
date de quand au fait?

4ème. Evidemment, je reprends l'histoire (inachevé) mais je change un peu quand même, histoire de l'améliorer

Lol tu fais comme moi tu change ton histoire a chaue fois que tu doit le recopier :baba:
AH c'est u'une partie du prologue :Iji...: je savai pas
Y a plus qu'a attendre la suite :Gaya:

c'est interessant pour un début, mais une histoire d'alexiel est forcement interessante et euh, j'avoue qu'il y a des choses qui m'échappent, je vais relire...j'aimerais connaître la suite :Hakutsu:

ton "oeuvre" a l'air bien simpatique, si j'ai tous suivi cela parle un peu de la nature des hommes en général?

Non ce sera une grande histoire...

Prologue

Il y a bien longtemps : Un cri retentit dans la nuit, à l’heure ou Londres s’endort. Le clochard assis sous la porte cochère reconnaît une voix d’homme. Une ou deux lumières s’allument, mais personne ne sort. Ce genre d’évènements est courant, dans l’Angleterre du 18e siècle. Si au moins quelqu’un avait eu le courage de répondre à cet appel désespéré, cet appel à l’aide, l’histoire qui va suivre n’aurait jamais eu lieu, et ils auraient pu vivre une vie tranquille. Mais l’homme est lâche. Et cette nuit va naître un monstre.

Année 2003, dans une ville de l’ouest du Japon, un cri retentit dans la nuit. Le clochard allongé sous le pont se lève d’un bond. Quelques jeunes fêtards intrigués le suivent. Les lumières des maisons s’allument, les gens sortent en robe de chambre et en pantoufles, inquiets et troublés par cette agitation qui vient bousculer leur quotidien.
Ils arrivent sur les lieux, tentent de satisfaire leur curiosité. Les chanceux ouvrent grand les yeux, l’air ébahi puis horrifié. Ca hurle, ça s’empoigne, ça se dépêtre tant bien que mal, ça s’enfuit. Et « ça », ce sont les hommes du 21e siècle. Ils sont à la fois bien différents que ceux des générations précédentes, mais ils leur ressemblent étrangement. Néanmoins ils ont un mérite : d’avoir eu le courage de se rendre sur les lieux, comme si ils pouvaient être utile. Et ça l’énerve.
Enfin, des hommes en uniforme bleu avec un képi fendent la foule. Le ruban jaune est installé autour de la scène du crime. Il les regarde faire avec un sourire narquois.
Un des policiers se penche vers un collègue.
« C’est vraiment moche… Si jeunes. »
L’autre homme approuva en détournant les yeux, de plus en plus verdâtre.
« Il faut vraiment être un monstre pour faire ça ! »
Un monstre, oui…
Il remonte le col de son manteau et s’en va, invisible aux yeux du monde. Combien de temps encore cette vie sans but va-t-elle durer ? Il tue pour tuer, et il n’est pas prêt de s’arrêter.






















Chapitre un

« Bonjour et bon réveil sur radio ***. Il est sept heures, l’heure des infos, avec cette nouvelle qui bouleverse toute la ville ce matin : trois jeunes filles, âgées de 14 à 19 ans, ont été retrouvées assassinées sur la place de Condé, égorgées et par la suite démembrées… »
Deux grognements retentirent à l’unisson. Une première tête sortit de sous la couette, pâle copie d’un certain cousin Machin de la famille Adams, suivi d’une deuxième sans doute frère d’un hérisson quelconque.
La jeune fille arrangea un peu ses longs cheveux châtains, laissant apparaître un visage harmonieux où brillaient ses yeux vérons : le droit possédait la couleur majestueuse de l’océan un jour d’hiver, le gauche était semblable au plus pur des rubis. A ses côtés, le garçon ouvrit difficilement les siens (d’yeux), identiques mais inversés à ceux de la fille.
Leurs lits étaient juste séparés par la table de nuit ou trônaient le radio réveil, une lampe de chevet en forme de fée et un cadre photo.

Tres bien l'histoire (quelques fautes xD ta ecrit 'la garcons >>") J'aime bien (pour une fois que je lit des textes xD) suite *ç*

Le reste de la chambre était occupé par une grande bibliothèque à côté du lit de la jeune fille, une armoire à vêtements longeant le mur opposé et d’un immense bureau collé à la paroi face aux deux lits jumeaux. Une fenêtre au plafond ainsi que deux velux laissaient entrer la lumière du jour dans ce qui aurait pu passer pour un hall quelconque tant la pièce était grande. Pour sortir, il fallait soulever la trappe au sol et laisser glisser l’échelle de corde jusque l’étage en dessous. On atterrissait directement dans un salon pourvu d’une table basse chauffante et de quelques coussins disposés tout autour. Dans une commode rebaptisée buffet, quelques couverts, et posée dessus une télé.
En passant par la porte coulissante située côté est, on arrivait dans une cuisine tout confort, avec évier, plan de travail, gazinière, micro ondes, four et frigo. Les placards accrochés aux murs regorgeaient de victuailles et d’ustensiles en tout genre.
Pour sortir de la maison, il fallait repasser dans le salon et prendre la porte placée Nord qui donnait sur un long couloir, avec à gauche une salle de bain, et à droite après un petit virage un vestibule et bien sûr, l’entrée. Il y avait encore une pièce jouxtant la salle de bain, mais elle était fermée depuis bien longtemps.

nyoo, super comme dab, j'aime toujorus autant ton style et tes oeuvres continueeeeee :Hakutsu: :Hakutsu: :Hakutsu: :Hakutsu:

La main de la jeune fille s’abattit sur le radio réveil. L’engin, désormais muet, oscilla dangereusement au bord de la table de chevet, avant de retrouver un équilibre plutôt précaire. A coup sûr, s’il avait encore été en état de marche, il aurait poussé un soupir de soulagement.
« Ooooh… Allez Sasha, c’est l’heure de se lever… »
Le jeune homme grogna pour toute réponse, la tête retombée sur l’oreiller.
« J’ai dit DEBOUT !! »
Un énorme livre, sans doute une encyclopédie, atterrit sur la figure de Sasha, qui en resta abasourdi, à moitié relevé dans son lit et la main posée sur son front douloureux.
« Mais ça va pas Resha ?! Tu veux me tuer ou quoi ?! Tout ça pour l’héritage, j’en suis sûr, mais je ne me laisserais pas avoir si facilement ! Protesta t il en fusillant la jeune fille du regard
- Moi je veux pas te tuer, mais ton éditeur très certainement si tu ne rends pas tes planches à temps. »
Le garçon se leva brusquement et se précipita à son bureau.
« Nom de… j’avais totalement oublié !! »
Resha soupira. Elle passa derrière lui, ramassant ses affaires pêle-mêle sur le sol
« Qu’est ce que tu ferais sans moi, franchement.
- Oh là, je dirais rien ! Et heureusement que tu es là alors, soeurette.
- Ouais bah ça risque de ne pas toujours être le cas ! Bon, n’oublie pas que tu n’as plus que 20 minutes, le prévint Resha. Le temps de tout finir, de manger et il sera l’heure de se rendre en cours. »
Sasha acquiesça rapidement. De toute façon, il n’avait plus qu’à relire et à fignoler le dessin de la dernière case.
Et oui, à 16 ans, Sasha Hiko était le mangaka à succès le plus jeune de la profession. Quand à sa sœur jumelle Resha, ses romans commençaient juste à s’imposer dans le milieu littéraire. A eux deux, ils gagnaient plus d’argent qu’il ne leur en fallait pour subvenir à leurs besoins et payer les assistants du garçon. Nul doute que si leurs parents avaient été encore présent, ils auraient été très fiers de voir les deux adolescents débuter une si brillante carrière aussi rapidement.

t'es toujours aussi douée Alexiel continue j'adore te lire :chu!:

chuis dans le meme cas que ene-chan ** continueeeeeeeeeeeuh :Hakutsu: :Hakutsu:

Resha s’habilla rapidement. Elle souleva ensuite la trappe et balança l’échelle de corde par l’ouverture. Elle descendit lestement dans le salon et partit préparer le petit déjeuner dans la cuisine.
La sonnette de la porte d’entrée retentit. Resha passa la tête dans le salon, un toast dans la bouche. Un bruit de cavalcade au dessus d’elle lui fit lever la tête.
« Et chaud devaaaaaaant !! »
Resha croqua dans son toast en regardant son frère sauter dans le trou. BOUM ! Sasha atterrit sur ses deux pieds accompagné d’un grand fracas. Il traversa la pièce en courant et arriva en un rien de temps dans le vestibule. Resha re-rentra dans la cuisine en soupirant.
« Il s’est levé depuis cinq minutes et c’est déjà le bordel. »

Sasha ouvrit la porte en grand et fourra son manuscrit entre les mains d’un coursier ébahi.
« Tenez merci au revoir bonjour chez vous »
Il referma la porte d’un geste vif, puis retourna dans le salon.
« Tu t’améliores dis moi. Tu n’as presque plus jamais de retard les jours J »
le félicita sa sœur de la cuisine. Jours J, jours maudits pour tout mangaka, lorsqu’il fallait rendre ses planches et de préférence sans retard, tous les 15 jours.
Sasha s’assit devant la table.
« Le mérite en revient aussi à mes assistants. Sans eux…
- Tu ne pourrais rien faire, oui je sais. Tu le dis assez souvent tu sais, mais jamais en leur présence… »
Resha revint dans le salon, les bras chargés d’un grand plateau couvert de bonnes choses. Elle s’agenouilla avec prudence et le déposa sur la table. Sasha saisit les bols et les disposa en cercle. Il y en avait sept.
La porte d’entrée se rouvrit. Resha tourna la tête vers la porte qui glissa doucement. Son frère venait de commencer à tartiner les toasts.
« Ca sent… le pain grillé ! »

Euh jsuis désolée me suis trompée au début: ça se passe au Japon et pas en France ^^j'ai modifié

c'est pas grave sa apsse, sa change beaucoup de chose?
en tout cas c'est toujours super :Hakutsu: :Hakutsu:

Bé ouais ça changerait toute l'histoire sinon. Le lieu (Ishuke) est très important.

Tiens petite info... c'est une histoire en parallèle à ma deuxième version du Jeu de l'Ange, bientot dispo aussi ^^

yeeeeaaaaaaaahhhhhhhh sa gere
*pette le mur avec sa queue dans l'exitation*
j'ai hate de voir sa^^ et tu finit aps ta fic d'harry potter au fait?

Oui après ça en fait :baba: t'inquiète, je ne l'oublie pas :YEp: