Pourquoi vouloir à ce point tout contrôler
L’ange le plus puissant enfermée
Privée d’amour, privée d’appui
Elle en oublie le sens de la vie
Et un jour un rayon éclaire
Les Ténèbres les plus opaques de son être
En la présence de cet inconnu
Quatre ailes blanches étendues
Il était venu pour la tuer
Souillant ainsi sa pureté
Il voulait voir le sang de cette femme
Mais elle seule put ranimer sa flamme
Lucifel, porteur de lumière noire
Alexiel, porteuse d’espoir
Deux êtres dénués de sentiments, mais
Pourtant, ils s’aiment.
Merchi, il est donc sur Angel Sanctuary. J'en profite pour poster un ptit deuxième
Coucher de soleil
Un jour d’été s’achève
Le disque flamboyant se couche dans la mer
Seule pour apprécier ce spectacle
Vision magnifique, première fois
Bruissement sur le sable
Les yeux fermés, je le perçois faiblement
Il s’arrête, silence
Un seul mot de sa part…
On n’a pas assez de toute une vie
Pour apprécier les merveilles qui s’offrent à nous
Comme ce simple coucher de soleil
Dernière vision d’une existence assez floue…
Derrière la voix se cache un homme
Il ne veut qu’une chose
Voir le sang couler
La vie s’échapper
Une lame, un cri, le sang
Tomber à genoux, laisser les larmes nous inonder
Seules à exprimer une souffrance
Qu’on ne peut arrêter.
Il se penche sur moi
Essuye une larme avec douceur
Pourtant, responsable de mon malheur
Il sourit, son but atteint
Et moi je pleure
Je n’avais que cette vie pour apprécier
Sur une plage silencieuse
Mon tout premier coucher de soleil…
Cui la je l'aime bien parce qu'il est sur le thème de la mort. Il me rend mélancolique. Et pour info, le méchant est inspiré du Kamui des Dragons de la terre, Fûma
Et on continue la visite. Attention, un poème d'amour.
Un chant d'Adieu
Emotions inutiles enfouies
Pendant si longtemps, aujourd’hui
Forcent la barrière de mon âme
Alors que la Mort est à deux pas
Je ne me battrais plus,
J’ai déjà trop souffert de t’avoir perdu
Un chant d’amour, un chant d’adieu
Seulement pour nous deux
Tu étais mon Amour, tu étais ma Vie
Mais un jour tu es parti
J’aimerais tellement encore une fois
Entendre ta voix
Mais tes yeux sont clos, ton cœur s’est tût
Et moi je n’ai pas su
T’aider, et je pleure
De toutes les larmes de mon cœur.
Petit cadeau, le tout premier de mes poèmes (restez indulgents, on ne hue pas
)
L'homme en toute sa splendeur
D’un baiser la vie lui fut donnée
Mais d’un geste il est possible de la lui ôter ;
D’un regard il apprit l’amour et le plaisir,
Mais d’un autre la vengeance et le martyr
Il acquiert la sagesse, la connaissance
Avec la bêtise et l’ignorance.
Il est capable d’apprécier l’art et la beauté,
Mais en son âme tout est cruauté,
Taillé dans le roc le plus dur
Sauvagerie à l’état pur
Tuer lui semble puéril
Il s’en va la conscience tranquille
Sans éprouver la moindre difficulté
Les remords le laissent inchangés
Ce monde que peu à peu il détruit
Avant havre de paix et de poésie
La nature était si belle
Qu’on l’aurait cru éternelle
Mais il s’est proclamé maître de la Terre
Et les conséquences en sont amères
Hélas, pleurons les temps anciens,
Où le pouvoir n’était pas sien
Trop de sang déjà a été versé
Rien ne pourra plus l’arrêter.
C'est mon deuxième poème, en rapport avec une histoire que je vais tenter d'écrire et de finir (et oui je suis aussi une romancière)
L'oubli ou le souvenir
Larmes sincères, qui viennent du plus profond de mon être
Les oublier quand je les aime. Je ne peux pas.
Et la vie devient amère
La tristesse est si grande que les larmes ne peuvent l'exprimer.
Blessée au plus profond de mon âme,
Je souffre sans pouvoir l’expliquer
Ils ne comprennent pas ce que je ressens,
Et ne peuvent rien faire,
Pourtant ils sont la cause de ma détresse,
La cause de ma souffrance.
L’oubli n’apporte rien, me rappeler m’est douloureux.
J’aimerais savoir ma vérité,
J’aimerais tant les aider.
Mais mes appels sont ignorés
J’ai beau le leur hurler
Ils se détournent, s’en vont
Et moi je tombe
De plus en plus profond
Ce qui m’attend je l’ignore
Mais je l’affronterais seule
Je ne peux abandonner
Ma vraie nature, magicienne
Pourquoi faut il toujours que mes Larmes
M’empêchent de voir ton visage ?
Pourquoi faut-il toujours qu’un obstacle
Se dresse entre nous tel un mirage ?
Pourtant si dur à contourner
Je ne cesse de pleurer
Tel des diamants glissants sur mes joues
A cause d’un sentiment : l’amour.
J’ai peur de ce que je vais trouver
Au bout du chemin qu’on s’était tracé
Mais maintenant tu n’es plus
Dans les Ténèbres je t’ai perdu
Je n’ai plus de raison de vivre
De mon corps la vie s’enfuit
Alors que lentement mon sang
Resplendit sous la lumière de la lune en blanc.
Au dessus de moi, des cris
J’ouvre les yeux, je vous vois mes amis
Mais vous ne pouvez plus rien pour moi
J’ai perdu, je sens votre effroi
Vous ne voulez me laisser aller
Pourtant comment pouvoir l’en empêcher ?